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La femme...

Il y'a autant de lettre

dans femme,que dans amour...

(Forneret)

L'érotisme c'est quand

l'imagination fait l'amour

avec le corps...

Mercredi 29 mars 3 29 /03 /Mars 15:17

Dans la petite rue,
La rue déserte et nue
Qui sent le ciel mouillé,
Le pavé du faubourg,
J'ai vu deux amoureux
Qui m'ont tellement émue,
Deux amants merveilleux,
Émerveillés d'amour.
Ils marchaient lentement
Avec les yeux mi-clos,
Se tenant par la main
Et sans dire un seul mot.
Ils ne m'ont même pas vue
En passant près de moi
Tant leur nuit était belle
Et constellée de joie.


Les amants merveilleux,
L'extase dans les yeux
Marchaient comme s'ils portaient en eux
Un trésor fabuleux,
Presque miraculeux :
Cette immense fortune d'être deux.
On sentait leur amour
Bien plus qu'aucun soleil
Qui semblait illuminer le ciel.
De voir tant de bonheur,
J'en avais presque peur.
Je ne croyais pas une chose pareille
.

Les amants merveilleux,
L'extase dans les yeux,
Au plus profond d'eux-mêmes entendaient,
Entendaient une musique,
La musique pathétique
De leur cœur, de leurs cœurs qui battaient.
Oh, comme ils s'embrassaient,
S'embrassaient dans la rue,
La petite rue déserte et nue
Puis ils ont disparu
En marchant lentement
Dans la nuit, effacés par le vent.


Alors, tout éperdue,
J'ai couru, j'ai couru
Vers ton cœur et vers tes bras tendus
Et, contre toi, blottie,
Mon amour, j'ai compris
Que nous étions aussi...
Des amants merveilleux...

(Edith Piaf)

Par Isarêve - Publié dans : Des mots d'amour
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Mardi 28 mars 2 28 /03 /Mars 08:40

 

 

“Examen subi par Mademoiselle Flora, à l’effet d’obtenir son diplôme de putain et d’être admise au bordel de Madame Lebrun, 67 bis rue de Richelieu

Dix-sept ans, des yeux noirs et fendus en amande,Avec des cheveux blonds,

une bouche un peu grande,Sans doute exprès et pour laisser voir en riant

Un brillant chapelet de perles d’Orient ;Un sein rose, arrondi, ferme à ne pas le croire,

Un cul dur comme un marbre et plus blanc que l’ivoire,Un con si mignonnet qu’il semblait que jamais

Même au vit d’un enfant il pût donner accès !Tel est en raccourci l’image ravissante

De Flora la putain, qu’on croirait innocenteEt vierge, tant ses yeux rayonnent de candeur,

Tant tout en elle exhale un parfum de pudeur,Et qui vient cependant, loin d’être encor novice,

Ayant fait dès longtemps ses débuts dans le vice,Sans avoir peur, sans être émue un seul instant,

Et comme devinant un succès éclatant,Passer cet examen aux fatales épreuves

Pour lequel la Lebrun demande tant de preuves ! Dont il faut nettement, sans hésitations,

Résoudre ex abrupto toutes les questionsPour acquérir le droit de voir couler sa vie

Dans ce charmant bordel que toute fille envie,D’y vendre au poids de l’or toutes les voluptés,

Et des charmes, souvent, qu’on n’a pas achetés.A midi, dans la salle en ce but préparée,

De toutes ses putains la Lebrun entourée,Assise gravement sur un moelleux sopha,

Tenant sur ses genoux un énorme angora,Donne l’ordre de faire entrer la néophyte.

La jeune fille fut aussitôt introduite.Un simple peignoir blanc, à peine retenu,

Laissait entièrement ses épaules à nu,Et sa gorge charmante, au lieu d’être enfermée

En un affreux corset qui l’aurait déformée,Montrant à découvert ses deux globes polis,

Se tenait d’elle-même et sans faire aucuns plis.

Elle était ravissante !... Aussi, dans cette salle Où pas une en beauté ne se croit de rivale,

Chacune, malgré soi, sentant ce qu’elle vaut,Au lieu de l’admirer lui découvre un défaut :

L’une de ses cheveux critique la nuance Et prétend hautement qu’ils frisent la garance ;

L’autre dit que sa gorge a l’air d’un mou de veau,Et toutes sont d’accord que ce n’est qu’un chameau !

Flora, sans s’inquiéter de leurs criailleries,D’un geste réfuta leurs sottes railleries,

Et jusques au nombril retroussant son peignoir,Leur montra qu’étant blonde elle avait le poil noir !

Nulle autre ne fit voir une beauté pareille !...Prises au trébuchet, toutes, baissant l’oreille,

Ne purent rien trouver contre un tel argument Et gardèrent alors un silence prudent.

La Lebrun, qu’amusait beaucoup cette aventure,Pour sa nouvelle fille en tira bon augure :

- Petite, lui dit-elle, allons, viens te placer Sur ce tabouret-là : je m’en vais commencer.

Pour être admise ici, sais-tu bien, ma chérie,Qu’il faut être très-forte en polissonnerie ?...

Que pour vendre l’amour, il ne nous suffit pas D’avoir de jolis yeux, d’avoir de frais appas,

Une gorge bien ferme et des fesses bien blanches,Une croupe soignée, un beau cul et des hanches ?...

Qu’il faut de tous ces dons savoir bien se servir,Savoir les employer à donner du plaisir

A ceux qui dans nos bras cherchent la jouissance,Ensemble ou l’un d’eux seul, selon la circonstance,

Surtout selon l’argent donné par le miché ?...

Qu’il faut promettre avant d’enlever son corset Et jamais ne l’ôter, à moins pourtant que l’homme

Ne se laisse tenter et ne triple la somme ?...Mais au lieu d’examen je fais une leçon ;

Assez comme cela. Sais-tu d’abord quel nom Donner à l’instrument par où le mâle pisse

Et par lequel aussi lui vient la chaude-pisse ?

 FLORA

L’académicien dit : mon vit, le médecin

Ma VERGE ; le curé : mon MEMBRE, une putain :

La QUEUE ; il est nommé PINE par la lorette ;

Une CHOSE ou bien CELA, par une femme honnête,

JACQUES par le farceur ;

BRAQUEMARD, par l’étudiant ;

La BABITE au petit, par la bonne d’enfant ;

Le jeune homme puceau l’appelle son AFFAIRE ;

L’ouvrier, son OUTIL ;la grosse cuisinière,

Une COURTE ; il devient DARD avec le pioupou

Mais si vous entendez : mon NŒUD ! c’est un voyou !

 LA LEBRUN

Parfaitement, la chose est très bien expliquée

Et par personne ici ne sera critiquée.

Peux tu me dire aussi tous les différents noms

Que l’on donne parfois aux deux brimborions

Qui sont pendus après ?....

 FLORA

J’essayerai. Les arsouilles,

Si vous les embêtez, vous répondent : MES COUILLES !

L’apprenti carabin, dit en se rengorgeant :

Ça c’est un TESTICULE ! un banquier, un agent

De change, un financier disent qu’ils ont des BOURSES ;

Un vieux passionné les appelles les SOURCES

D’OÚ JAILLIT A FLOTS BLANCS LA SEVE DU PLAISIR

Que rarement hélas ! il parvient à saisir !

Le troupier, mes ROUSTONS ; le cocher, mes ROUPETTES ;

Le marchand de coco, mes GOURDES, les grisettes

Des MACHINES...

(Louis Protat)

Par Isarêve - Publié dans : Poésie erotique
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Vendredi 24 mars 5 24 /03 /Mars 09:52

Il vint se placer debout derrière le fauteuil,et entreprit de lui malaxer la poitrine. elle pouvait sentir la chaleur de ses mains a travers son chemisier. Sa caresse se faisait douce,pinçant délicatement les tétons durcis par l'excitation. Elle repoussa sa tête en arrière dans un soupir les yeux mi clos. On ne lui avait pas caresser la poitrine depuis si longtemps qu'elle en avait oublier les douces sensations que cela procurer. Son corps réagissait au moindre toucher,elle ondulait a l'allure de ces caresses se faisant maintenant plus vive,laissant cet inconnu s'emparait de ses désirs. A demi dans son extase,elle l'entendit lui murmurer : "relevez votre jupe,s'il vous plait,et écartez légèrement vos cuisses,je souhaite vous regardez " elle s'exécuta laissant apparaitre le haut de ses bas dentelés.

Elle entendit son assaillant laisser échapper un "hum" dans un profond soupir. Elle en déduit que visiblement il appréciait sa tenue,flattée elle remonta davantage sa jupe. Il descendit lentement sa main,douce et chaude,jusqu'à son entre cuisse,qu'il caressa avec douceur. Cette caresse était telle,qu'elle commença a gémir. Subtilement il effleura son sexe,comme pour éveiller lentement ses sens,puis a travers son string il entreprit de lui malaxer son clitoris,appuyant légèrement,il ondulait de haut en bas,de gauche a droite. Il sentait sous ses doigts que sa caresse humidifiait fortement sa charmante invitée. 

Il se pencha a son oreille et lui murmura lentement :"Enlevez votre string s'il vous plait, je veux sentir votre chaleur" 

Elle lui obéit,se sentant porter par cet homme,et laissa apparaitre son sexe doux et fraichement épiler. Le léger soupir qu'il laissa échapper lui confirma qu'elle lui plaisait,elle se sentait désirable. 

Elle se demanda si son sexe était en érection,elle ne pouvait le sentir,mais se surpris a l'imaginer constatant son impatience a vouloir le caresser. 

Lui avait a présent atteint sa légère toison,et ayant pris soin d''humecter son doigt,glissait lentement sur son petit bouton,le roulant entre ses doigts,remontant,descendant,la pénétrant furtivement. De son autre main,il avait déboutonner son chemisier et laissait apparaitre sa poitrine généreuse,qu'il continuait a malaxer lentement. 
 
Elle ferma les yeux,et envoûter par ses caresses,qui se faisaient maintenant plus nerveuses,elle se laissa aller et fut envahis par un orgasme léger et timide. Lorsqu'elle rouvrit les yeux,elle aperçu que deux hommes nus se tenaient face a elle,se masturbant. Elle devina qu'ils avaient assister a son plaisir,et trouva çà fort excitant. 

L'homme derrière elle se pencha et l'embrassa avec fougue et tendresse. Leurs langues s'entremelerent,se liant,s'aspirant...Elle aimait le goût de cet homme et ce baiser enflammé. Il se décolla de sa bouche,lui caressa les cheveux et lui demanda si elle désirait aller plus loin. Pousser par l'excitation de ces hommes nus devant elle,elle acquiesça. Il fit signe aux deux hommes de s'approcher. Leurs verges étaient tendus et bien gonflés,ils avancèrent ne cessant de se masturber. 
 
"Occupez vous d'elle,dit l'homme,faites la jouir a son plus haut point,chargez vous de son plaisir avant tout ! " Elle fut surprise par cette phrase,s'attendant a ce que lui se charge d'elle. Mais non,il restait debout derrière elle a la caresser. 
 
L'un des hommes s'agenouilla devant elle,et commença a lécher ses cuisses et son sexe,sa langue était chaude, douce,l'autre homme lui glissa son sexe entre les mains et lui dit de le prendre en bouche. Elle s'exécuta,son membre était bien dur et gonflé,elle l'engouffra jusqu'à la garde et entreprit son va et vient,salivant tout le long de sa hampe.

L'homme a ses genoux s'était emparé de son clitoris et lui affligeait des succions si précises que ses jambes flageolaient. Elle sentait sa cyprine mélanger a la salive de l'homme couler le long de ses cuisses. Il glissa un,puis deux doigts dans sa chatte,comme pour empêcher le liquide de s'échapper,tout en ne cessant pas d'aspirer son bouton durci au point d'exploser. 

Un terrible plaisir l'envahissait,elle avait du mal a se concentrer sur ce sexe dans sa bouche tant l'autre s'acharnait sur sa chatte. Elle se sentit partir et fut prise d'un orgasme si bruyant,que l'homme derrière elle l'embrassa fougueusement pour atténuer ses cris. Elle eu a peine le temps de reprendre ses esprits que le sexe délivrer de sa bouche,la pénétra d'un coup sec. Sa chatte était tellement trempée que l'homme glissait littéralement en elle,s'enfonçant dans son ventre. Ce sexe la comblait totalement avec ses va et vient de plus en plus rapide,de plus en plus fort,qu'il lui arrachait des cris de plaisir. Elle se sentait tellement bien...Elle aimait cà...

Pendant qu'elle se faisait prendre,les deux autres hommes la déshabillèrent complètement. Elle était là,nue,offerte a ces trois hommes,prête a tout et elle en demandait. Son hôte était toujours vêtu mais elle pouvait voir la bosse énorme que causer son sexe. L'homme se retira d'elle,la retourna,la positionna en levrette et vint engouffrer son sexe dans sa bouche. L'autre homme se plaça derrière elle,la cambra et se mit a la labourer a son tour,avec une énergie qui lui faisait perdre la tête. Sa jouissance fut grande et forte,elle était envahis par une espèce de rage sexuelle,elle en voulait encore...de plus en plus. Avec force elle attira a elle l'homme qui lui avait fais découvrir ce plaisir,déboutonna sa braguette,sortit son sexe en érection,et l'engouffra dans sa gorge. 

 Elle jouait avec les deux queues bien durs,les avalant a tour de rôle. Elle s'affairait a pomper,aspirer,déchainant sa bouche au rythme des coups de reins qu'elle prenait. Soudain l'homme qui la pénétrait,lui introduit un doigt dans l'anus entreprenant de le dilater. Son doigt faisait des ronds,s'enfoncant de plus en plus loin. Elle tressaillit par l'excitation et la douleur que cela lui procurer.

Pressentant qu'elle devait être prête,l'homme pris place sur le fauteuil,la fit s'asseoir sur son sexe en la cambrant,et se cramponnant a sa hanches commença son va et vient dans sa chatte,l'autre se mit derrière elle,frotta son gland sur son anus,et s'introduisit s'agrippant a ses seins. Elle eu un cris de douleur,le troisième homme lui enfonca dans la bouche,son sexe rougit par l'excitation la faisant taire,alors que les deux autres investissaient totalement son corps.Tout trois la possédaient lentement puis accéléraient au fur et a mesure qu'elle s'ouvrait,ses trois orifices remplis par la fiertè de ces hommes...Un delice qu'elle n'aurait jamais soupconner. 
 
Ces hommes la pénétraient maintenant au plus profond de son être. Elle fut submerger par une chaleur torride et a demi consciente elle entendit le troisième homme dire aux deux autres: " Allez,messieurs,soyez vigoureux,je veux l'entendre crier de plaisir". Tout deux écoutant les conseils de celui-ci,accélèrent le rythme,s'enfonçant davantage en elle,sentant presque leurs deux sexes se toucher a travers les parois de cette femme. Ils étaient en sueur,fou comme des bêtes,la cadence au plus haut point,elle criait,hurlait... 
 
Elle eu une jouissance hors du commun elle ne connaissait pas un tel plaisir,elle ne savait plus qui elle était,ne pensant qu'a ces trois sexes qui la rendaient folle,et cet autre homme qui n'avait cesser de la caresser et l'embrasser durant tout son orgasme. Soudain dans un cris rauque,les deux hommes explosèrent simultanément. Déversant leurs semences en elle,elle sentit la chaleur du liquide envahir son corps.Tout trois se relâchèrent dans un immense soupir. Excitèe par ce nectar divin elle branla a toute allure la queue qui etait dans sa bouche,aspirant le gland,sucant ses contours,lechant les couilles,elle s'ennervait,se dechainait sur ce sexe delicieux pret a exploser. Elle s'acharnait dessus impatiente de sentir le jet chaud sur ses lévres. Elle sentit la contraction du sexe,entendit l'homme crier crachant une bonne giclè de ce sirop precieux. 
Elle se délecta de cette douce semence,passant sa langue sur ses lévres ne perdant pas une goutte, fixant l'homme dans les yeux. 
 
Apres avoir repris ses esprits,elle se demanda pourquoi il ne l'avait pas pénétrer. Il compris de suite sa question et lui dit tendrement a l'oreille : " Je vous veux pour moi tout seul maintenant ,je voulais voir de quoi vous étiez capable." Il la pris par la taille,lui fit passer une porte et l'emmena dans un appartement a l'étage. Là il lui fit l'amour avec tendresse et passiondurant des heures.C'est seulement au petit jour qu'il lui avoua n'être autre que le patron de L'Aphrodite et qu'elle serait toujours la bienvenue dans son établissement...

Par Isarêve - Publié dans : Rêves et désirs
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