Entre rêves et désirs

Quand je m'endors contre ton corps
Alors je n'ai plus de doute
L'amour existe encore
Toutes mes années de déroute
Toutes, je les donnerai toutes
Pour m'ancrer à ton port.

La solitude que je redoute
Qui me guette au bout de ma route
Je la mettrai dehors...

Pour t'aimer une fois pour toutes
pour t'aimer coûte que coûte
Malgré ce mal qui court
Et met l'amour à mort

Quand je m'endors contre ton corps
Alors je n'ai plus de doute
L'amour existe encore,
L'amour existe encore...



On n'était pas du même bord
Mais au bout du compte on s'en fout
D'avoir raison ou tort

Le monde est mené par des fous,
Mon amour il n'en tient qu'à nous
De nous aimer plus fort...

Au-delà de la violence!
Au-delà de la démence
Malgré les bombes qui tombent
aux quatre coins du monde.

Quand je m'endors contre ton corps
Alors je n'ai plus de doute
L'amour existe encore...

(JJG/C.Dion)

Ven 17 nov 2006 4 commentaires

Pour t'aimer une fois pour toutes, pour t'aimer coûte que coûte et m'endormir contre ton corps, j'ai changé de turban !!!!


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Prince du désert - le 17/11/2006 à 13h10


"Le Prix d'Amour, c'est seulement Amour, il faut aimer si l'on veut  être aimé..."
Honoré d'Urfé

Extrait de La sylvanire
orphee - le 18/11/2006 à 11h46
Il faut y croire encore
il faut y croire toujours
il y a bien des jours ou on y crois moins que d'autre
et pour moi aujourd'hui moins encore  qu'hier

Mais une jour reviendra ou l'amour reignera
il reignera en maître et ce jour là plus rien n'aura d'importance
nos corps serons enmêlé l'un à l'autre
et de nouveau je pourrais dire

JE T AIME TOUT SIMPLEMENT


Muriel
muriel - le 18/11/2006 à 13h30
EN ÉPOUSANT TON CORPS (Texte déposé à la S.G.D.L) En épousant ton corps, j’épouse la tendresse, M’abreuvant de baisers, remplis de volupté; Et si mon âme exalte en d’infinies clartés, Je ne le dois qu’à toi, étonnante princesse ! Paré pour l’aventure, en tes yeux je voyage Vers d’autres horizons, vers de nouveaux rivages; Tu n’es plus devant moi, tu es déjà en moi Partageant ce navire, aspect de notre émoi ! En épousant ton corps, j’épouse la tendresse, M’abreuvant de baisers, remplis de volupté; Et si mon âme exalte en d’infinies clartés, Je ne le dois qu’à toi, étonnante princesse ! Nous voilà embarqués pour une vie à deux, Loin des tracas du monde, au delà de nos jeux, Voguant sur l’océan, éternels amoureux, Blottis l’un contre l’autre, offrant nos corps au feu. En épousant ton corps, j’épouse la tendresse, M’abreuvant de baisers, remplis de volupté; Et si mon âme exalte en d’infinies clartés, Je ne le dois qu’à toi, étonnante princesse ! Maintenant, c’est certain, ö biche ensorcelée, Je suis en train de naître, envahi de baisers, Et mon cœur bat plus fort, un peu plus chaque jour En se greffant au tien dans un hymne d’amour ! En épousant ton corps, j’épouse la tendresse, M’abreuvant de baisers, remplis de volupté; Et si mon âme exalte en d’infinies clartés, Je ne le dois qu’à toi, étonnante princesse ! Un reflet argenté inonde ton visage, Renvoyant à mon cœur cette vibrante image; C’est notre amie la lune, étincelle d’amour, Qui bénit notre union d’un mélodieux toujours !!! En épousant ton corps, j’épouse la tendresse, Goûtant avec passion à cette volupté; Et si nous rayonnons de multiples clartés, C’est qu’au-delà de nous, résonnent nos caresses. © Serge LAINÉ
Serge LAINÉ - le 20/12/2006 à 12h48