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Mardi 14 mars 2 14 /03 /Mars 08:00

Les lunes de Sapho

Sapho n'avait pas l'habitude qu'on la délaisse. Depuis que sa cousine et sa suite étaient partie, personne ne faisait plus attention à elle et elle passait ses journées à se morfondre dans la grande demeure familiale si isolée de tout. Avec Caroline elles avaient inventé beaucoup de jeux qui remplissaient leurs vies d'une façon délicieuse, et maintenant elle s'ennuyait.
_ Il va falloir que je trouve quelqu'un d'autre avec qui m'amuser, pensa-t-elle.
C'est alors que ses yeux se tournèrent sur une petite servante de sa mère occupée à étendre du linge dans la cour. Elle était plutôt jolie avec son petit châle noué sur ses épaules délicates, et son décolleté qui laissait deviner des petits seins fermes. Elle ne l'avait jamais remarquée auparavant mais comptait bien s'en faire une compagne dévouée.
Elle descendit les grands escaliers qui menaient à la cour, et s'approcha de la jeune fille en la priant de la suivre pour l'aider à s'habiller.
Elles montèrent dans la grande chambre et la petite servante entreprit de dévêtir sa jeune maîtresse.
Elle aimait beaucoup le contact des mains fraîches de la jeune fille sur son corps et prit plaisir à observer celle-ci dans son grand miroir pendant qu'elle s'occupait de lui enlever sa chemise de nuit et qu 'elle lui défaisait ses tresses.
Il faisait déjà chaud dehors pour une journée de mai et le soleil qui perçait dans la chambre lui donnait envie de s'offrir tout entière aux appétits de la nature
_ Non, ne m'habille pas de suite, je vais m'allonger un peu sur mon lit avant.
_ Comme vous voulez, je vous laisse.
_ Non, reste. Viens t'allonger près de moi. N'aimes-tu pas la douceur des rayons du soleil sur ta peau ?
_ …Si, bafouilla la soubrette.
_ Déshabille-toi alors.
Cette phase sonnait plus comme un ordre que comme une invitation. La petite s'exécuta, non sans appréhension, mais ses gestes rendus maladroits par la nervosité exaspéraient Sapho qui ne tenait plus de désir.
_ Laisse, je vais le faire !
Elle commença à défaire les lacets de la robe de la jeune fille, et retrouva son calme quand elle découvrit la peau blanche et douce de sa compagne. Elle laissa tomber la robe sur le sol, et retira le bustier en touchant doucement les seins du bout des doigts qui pointèrent sous la caresse. Puis elle se mit à genoux se trouvant face à une jolie toison dorée comme la sienne et retira les bas puis les souliers de la petite servante.
Elle fit ensuite glisser ses mains le long des jambes fines pour venir palper les fesses fermes de sa nouvelle compagne, puis les fit descendre entre les cuisses pour les inviter à s'ouvrir et y plongea son visage pour venir goûter à la douceur de ce sexe visiblement pur de toute intrusion.
La petite servante n'osait pas bouger, cependant Sapho sentit que la jeune fille ruisselait de plaisir sous les coups de langues experts de sa maîtresse. Elle se hasarda donc à introduire délicatement un doigt dans le petit trou de la jeune vierge en prenant soin de ne pas la blesser, ce qui la fit frémir et pousser un petit cri de surprise. Elle en fit autant chez elle et commença ainsi un va et vient synchronisé, tout en gardant sa langue sur le petit bourgeon de la soubrette qui ne retenait plus ses émotions.
Profitant de l'état de la jeune fille, Sapho entreprit de lui faire connaître sa première expérience de l'amour. Elle invita la jeune fille visiblement très échauffée de ces préliminaires à s'allonger sur le lit, et sortit d'une trousse de velours un objet qui excita la curiosité de sa servante. C'était une sorte de manche courbé de couleur blanche, quand Sapho le lui présenta, elle vit qu'il avait la forme de deux phallus de belle taille reliés en leur centre.
_ Mon cousin me l'a ramené d'Afrique, c'est de l'ivoire. Il l'a fait tailler dans la défense d'un éléphant spécialement pour moi.
Elle en sortit un autre en porcelaine décoré avec de jolis dessins d'or et le présenta à la jeune fille.
_ Celui-ci te convient ?
La petite vierge sourit devant la taille plus raisonnable de celui-la et acquiesça.
Avec toute la douceur dont elle était capable, et après l'avoir sucé pour le lubrifier, elle fit pénétrer le gode dans le petit orifice de la jeune fille qui desserra très vite les dents pour se laisser porter par le plaisir que cette intrusion nouvelle provoquait.
Après plusieurs minutes elle s'interrompit pour laisser souffler son amie et s'allongea sur le dos, écarta les cuisses et engouffra dans son vagin l'objet, qui ne portait même pas de trace de sang de la virginité rompue.
Elle se fit jouir en quelques minutes devant les yeux encore sous le choc de la petite servante, et invita celle-ci à lécher avec elle ce pénis de porcelaine souillé des fluides des deux jeunes femmes.
Elle congédia la soubrette qui eu du mal à se rhabiller, et se rendormie satisfaite du plaisir qu'elle venait de prendre.

Par Isarêve - Publié dans : Poésie erotique
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