Vibrer, vivre, à même la musique
Mordre dans la symphonie
A coups de corps en harmonie.
Talons aiguilles et cuirs noirs qui scintillent
Dans une lumière tango,
Regards indigos
Et bas résilles.
Deux temps pour s'étreindre,
Deux corps pour se plaindre

D'aimer...

Cambrure langoureuse
D'une passion douloureuse,
Extrême densité de corps bandés et fiers,
Musique carnassière.
Deux temps pour s'étreindre,
Deux corps pour se plaindre

D'aimer...

Comme au temps des bandonéons,
Les silhouettes glissent sous les néons.
Comme au temps des compadritos
Les mâles mènent les tangos,
Les femmes jouent la soumission.
Mais ils ont deux temps pour s'étreindre,
Deux corps pour se plaindre

D'aimer...

(Je n'ai pas trouvé l'auteur,si vous reconnaissez vos mots,n'hésitez pas à m'en faire part,je rectifierais aussitôt ) Aprés les paroles la musique ici