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La femme...

Il y'a autant de lettre

dans femme,que dans amour...

(Forneret)

L'érotisme c'est quand

l'imagination fait l'amour

avec le corps...

Rêves et désirs

Mardi 16 janvier 2 16 /01 /Jan 11:43

 

Suite à un sujet vu sur un autre blog (ici) je souhaiterais avoir votre avis sur votre maniére de voir l'érotisme exprimer sous différentes maniéres...L'érotisme peut être cru mais en est il pour autant une dégradation de l'amour ? Comme je l'ai exprimer il me semble primordial de ne pas confondre érotisme,amour,sexe et poésie...Le plaisir peut être exprimer sous bien des formes sans pour autant que l'auteur passe pour quelqu'un de vulgaire...On ne peut juger sur de simples mots...Parfois la maniére d'exprimer peut cacher bien d'autres choses...Le plus important est de savoir lire entre les lignes sans "cataloguer"...Je me suis vue écrire un texte qui etait truffé de mots crus,c'etait un de mes tout premiers textes,je suis passé pour la derniére des derniéres...On m'a juger de vulgaire mais lorsque l'on me connait on sait que je ne suis pas pour autant vulgaire et même bien plus sensible que la moyenne mais voilà on a tendance à juger sur de simples mots qui reflettent pas forcément la personne...

Le blog de Ptitamour souligne ce sujet par un film qui me semble effectivement trés approprié...Il en ressort ces mots qui sonnent trés juste à mon oreille :

"L'attitude licencieuse et volontairement provocante de Lila n'est qu'une épaisse carapace dissimulant une âme sensible qui souffre d'être mal aimée et d'un mal d'aimer et qui ne sait parler que le langage du corps quand elle voudrait dire je t'aime : les fantasmes qu'elle exprime crûment sont la soupape de sûreté qui lui permet d'évacuer un sentiment qui lui fait peur sans s'exposer au risque inhérent à l'aveu d'un amour au sens profond du terme"

Voici la bande annonce de ce film "Lila dit cà"

 

Par Isarêve - Publié dans : Rêves et désirs
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Jeudi 11 janvier 4 11 /01 /Jan 04:32

Je me promenais dans les rues de Lille, il faisait un temps magnifique en ce jour de juillet. Pour me refraichir, je décidais d'aller prendre un verre en terrasse. Au bout de quelques minutes, je me remis à la lecture de mon ouvrage. Les images défilaient dans ma tête et je crois que rien n'aurait pu me déranger. Sauf que...

Sauf que à côté de moi, à la table toute proche, une ravissante femme s'installait. Je dois avouer, que la vue d'une jolie femme ne me laisse jamais indifférent ! "Elle est vraiment charmante" me dis-je intérieurement, ce qui ne manque pas de me faire sourire. Elle s'assoit et commande un rafraîchissement.Elle est brune aux cheveux mi-longs et porte une robe à fleurs bleu et jaune. Je devine son joli corps sous ce vêtement d'été, qui met en valeur plus qu'ils ne dissimule ses charmes. Mais bon, là il faut que je m'arrête, sinon je ne vais pas avancer ma lecture. J'essaie de me remettre à l'œuvre, mais mes yeux se lèvent régulièrement sur ma belle inconnue. Rien à faire, je ne suis plus concentré, mon esprit s'aventure en d'autres lieus que mon roman...

Mes yeux se baissent pour admirer ses jambes, et là, qu'elle n'est pas ma surprise de voir que la robe de ma voisine est pour le moins transparente. Visiblement, cela n'a pas l'air de la déranger ou alors elle n'a pas fait attention à mon regard. Moi par contre, je suis plus que troublé. Mon sang ne fait qu'un tour, je frissonne non de peur, mais d'un frissonnement annonciateur d'excitation : la scène commence à être de plus en plus intéressante. Mon livre ne me sert plus désormais qu'à dissimuler mes yeux. Je me demande si elle va me découvrir. En tout cas pour l'instant, elles n'a pas l'air d'avoir remarqué ma présence. Très bien, je peux continuer à faire le lecteur immergé dans son roman, mais un lecteur qui ne sait même plus le sujet de son livre.

Ses jambes apparaissaient sous le tissu, je ne me lassais pas de la regarder. je me surprenais à remonter le long de cette robe, j'arrivais à distinguer son nombril. je remontais encore et m'arrêtait à la hauteur de ses seins. Sa poitrine était généreuse, ferme. Cette femme me plaisait vraiment.

Au moment même où je relevais la tête, mon regard croisait le sien, je rougissais sur le champ pesuadé qu'elle allait se lever pour me gifler. Mais elle se contentait d'esquisser un lèger sourire timide comme si le fait d'être observé, que dis-je dévorée des yeux, par un inconnu ne lui déplaisait pas. Ses yeux étaient assez petits mais son regard magnifique, magnétique, cette femme était maintenant complètement dans mon esprit.

C'est à regret que je me décidais de partir, trop timide pour oser l'aborder. Pour essayer de me changer les idées et oublier cette inconnue qui m'avait tant troublé, je décidais d'aller me faire une toile au cinéma le plus proche.

J'etais à peine installé que ma surprise fut grande de voir arriver ma belle dans la salle. Elle vint s'asseoir à la même rangée que moi, laissant 2 sièges entre nous. je ne savais plus où regarder tellement je me sentais prisonnier de mon envie de la séduire mais également de ma peur de l'approcher.

Les lumières étaient encore allumées, je pouvais parfaitement voir ses courbes sous cette robe malicieuse. je croisais ses yeux, son regard me semblait perçant, j'avais l'impression d'être nu devant elle. Ohhh comme j'avais envie d'elle.

Le film commençait. A vrai dire je m'en fichais éperdument. Je ne faisais que tourner la tête pour scruter les faits et gestes de...comment pouvait-elle s'appeller d'ailleurs ??

Au bout d'un certain temps, elle approchait d'un siège, se penchait vers moi me demandant : "le film ne vous plaît pas ??. Après quelques secondes de surprise, je bafouillais : "comment avez-vous deviné ?". Elle : "J'ai bien remarqué que vous me regardez, et cela, depuis le café".

J'étais abasourdi, j'étais donc repéré depuis le début. Sentant ma gêne, elle m'aidait à rompre ce silence oppressant en chuchotant : " Ne soyez pas gêné, je suis flatté de votre intérêt, je vous trouve moi-même charmant. je m'appelle Lisa et vous ?" J'avais l'impression que mon coeur allait exploser d'envie et de peur mélées...je répondais d'une voix faible et tremblante : "je m'appelle David".

Elle me souriait, timidement également, légèrement penchée vers moi. Seul un siège nous séparait, mais je pouvais déjà sentir les effluves sensuels de son parfum. J'avais de plus en plus envie de la regarder, cette femme m'ensorcelait.

je regardais ma montre, le film allait se terminer très vite. Je commençais à pester contre cette timidité qui m'empêchait d'aller vers cette femme. A cet instant, je sentais sa main qui se posait sur la mienne tandis que son visage s'approchait. "Vous me plaisez aussi David".

Enfin, je trouvais le courage de m'avancer de rompre cette distance si courte et si grande à la fois. Elle me regardait m'approcher, sans qu'un seul instant ses yeux ne se détachent des miens. Ma bouche était maintenant tout proche de la sienne. Sur le point de défaillir, je m'avançais encore. Nos lèvres se trouvèrent, et ce contact me rendit la vie. Ses yeux se fermèrent, tandis que ma langue s'aventurait légèrement dans sa bouche, et que ma main se posait sur sa jambe. Lorsque nos langues se touchèrent, une étincelle électrique semblait nous parcourir tous les deux, nous faisant frissonner. Je ne saurais dire combien de temps dura ce baiser, le temps semblait avoir suspendu son vol.

Les lumières se rallumaient, le film était fini, j'en avais oublié que j'étais au cinéma tellement les lèvres douces de ma belle inconnue m'avaient hypnotisé. Elle me regardait en souriant et m' a dit alors : "j'aimerais te revoir (j'appréciais le TE) David mais je dois partir là, pourquoi pas jeudi prochain à 16 h dans ce même café ?" "Ce serait avec grand plaisir Lisa".

Nous sortions de la salle, nous séparant à la sortie par une bise sage. Je la regardais s'en aller, un léger vent flottant sur sur sa robe. J'étais triste de la quitter mais rassuré à l'idée de la revoir bientôt. A l'évocation de ce rendez-vous futur, un grand sourire éclaircissait mon visage.

Je suis pile à l'heure comme toujours. J'attendais fébrilement ta venue. Le temps est magnifique, je regarde le ciel d'un bleu profond quand j'entends alors soudain une voix derrière moi : "David ?".
Je me retourne en un éclair. Tu es là, à deux mètres de moi. Je suis époustouflé, tu es rayonnante. Tu me souris largement dans ta robe verte légère. Nous nous rapprochons pour échanger une bise innocente mais emplie de sensualité.

Après avoir échangé les banalités d'usage, nous nous promenons longuement dans ce jardin avant de s'asseoir sur un banc à l'ombre pour fuir cette chaleur etouffante. J'ai une folle envie de toi Lisa. Soudain, après une silence qui me parut éternel, comme si tu lisais dans mes yeux, tu me fixes et me dis :
- J'ai envie de toi, David.
- Moi aussi, Lisa.

Sur ces mots, tu approches ton visage du mien et m'embrasse délicatement. Ce premier baiser, d'abord léger, devient rapidement un ballet de nos langues mêlées. Ces baisers fougueux, voluptueux attisent notre désir. "Viens chez moi", me souffles-tu dans le cou...

A peine chez toi, tu me dis "Je vais prendre une douche, ça me fera du bien avec cette chaleur". Perdu dans mes pensées, je ne t'ai pas vu revenir. Il fait sombre, mais la faible lueur qui filtre par les rideaux me permet de te voir enrobée d'une serviette, qui ne cache pas grand-chose. Cette serviette te donne une poitrine pigeonnante et s'arrête juste sous ton sexe, à la fois plus érotique que n'importe quelle robe moulante mais aussi totalement chaste.

Tu viens t'installer dans le lit, te défaisant de cet ultime vêtement et te lover tout contre moi. Encouragé par cette invitation, mes mains s'égarent sur ton corps, je caresse ton dos, tes fesses, tes jambes... Mes lèvres quittent les tiennes pour aller à la rencontre de tes oreilles et de ton cou. Je veux découvrir tout ton corps et te donner autant envie de moi que j'avais envie de toi. J'appuye sur tes épaules pour t'allonger sur le dos. Mes lèvres descendent le long de ton corps. Elles croisent d'abord tes seins, de taille généreuse, adorables avec leur aréole toute ronde. Je les embrasse doucement en insistant sur tes tétons qui durcissent sous l'envie. Je continue mon expédition par ton ventre. Ma langue se perd dans ton nombril, le fouillant, tournant autour de lui. Ton corps ondule au grè de mes coups de langue.

Je continue à descendre encore.. Je sens sous mes lèvres l'odeur suave de ton sexe. Ton ventre remue soudain plus vite. Je n'ai pas envie de m'arrêter là, je veux te rendre folle, incontrôlable. Ma langue continue sa balade sur tes jambes, ignorant ton intimité. J'écarte égèrement tes cuisses, découvrant ton sexe lisse. Je lèche l'intérieur de tes cuisses, sans doute l'endroit le plus doux de l'anatomie féminine et je m'approche de ton sexe jusqu'à en sentir la chaleur, sans jamais l'effleurer.

Tu es déjà humide, alors que je n'avais rien fait encore, je découvre une magnifique chatte rasée depuis peu. Je passe ma langue tout autour de ta vulve et introduit délicatement un doigt à l'intérieur. Tu pousses un léger soupir. Je lèche ta fente de haut en bas en fouillant l'orée de ton trou de petits mouvements rapides. Quand le bout ma langue écarte les muqueuses de l'organe offert, ta liqueur filtre lentement jusque dans ma gorge et je me délecte des effluves salés qui en émanent. Après quelques minutes, je pince ton clitoris entre mes doigts et le suçote en le dardant de coups de langue. Ton corps commence à se tendre et tu gémis profondèment.

Soudain tu me repousses, me pousse en arriere et t'allonge sur moi et part à ton tour à la découverte de mon corps. Tu embrasses mes mamelons et laisse ta langue jouer avec. Mon nombril connaît lui aussi les caresses de ta langue avec la même joie. La voilà au bout du chemin. Sans le moindre effort tu te débarrasses de mon boxer, libérant mon sexe érigé. Une de tes mains s'est glissée entre mes jambes et caresse mon périnée, m'arrachant un gémissement soudain. Ta langue s'active sur mes testicules. J'ai l'impression que je vais éjaculer sur le champ. Quelques petits coups de langue et bientôt, mon pénis trouve refuge dans ta bouche. Tu joues de ta langue, léchant le méat, le gland, la grosse veine, mes testicules, puis remontes doucement me faisant frémir. Tu remets le gland dans ta bouche, puis entre tout mon sexe et commençe de monter et descendre dessus.

je me sens vaciller et dans un dernier effort retire mon sexe de ce fourreau si chaud pour enfiler un préservatif et t'inviter à venir t'asseoir sur moi. Tu places ta chatte humide et incroyablement excitée au-dessus du mien. Tu abaisses ton bassin au-dessus de mon organe épais et viril. Le premier contact du gland avec ton antre est divin. Lentement, patiemment, tu t'enfonces lentement sur mon organe turgescent.Tu apprécies sa taille, son épaisseur, et me le dit sans retenue.

Tu commences à onduler ton bassin sur moi. Je sens ma queue grossir encore dans ta chatte... Elle est de plus en plus mouillée, je sens ton sexe s'écarter toujours davantage, en allant et venant de plus en plus rapidement. Je pose mes mains sur tes fesses pour suivre le mouvement tout en embrassant fébrilement tes seins qui remuent sous la pénétration de plus en plus rapide. Je sens une vague d'électricité émaner de mon échine et s'emparer lentement de tout mon corps.

Ton visage reflète la montée de ton plaisir. Mes coups de rein jusque là sensuels, sont devenus maintenant sauvages et incontrôlables. Nos deux corps commencent à trembler et à frissonner. Tu gémis de plus en plus fort en caressant ton bouton. Tu cries ton plaisir. Mon sperme jaillit en toi, nous jouissons simultanément, gémissant, haletant.

Enfin, tu t'effondres sans force sur moi, nos bouches se cherchant pour un dernier baiser.

Histoire écrite par Anathéma...Merci de m'avoir permis de la publier ;o)

Par Isarêve - Publié dans : Rêves et désirs
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Mercredi 29 novembre 3 29 /11 /Nov 06:00

Encore quelques stations et elle est enfin arrivé. Elle a hâte d'être chez elle,ses talons lui font mal,elle s'imagine en train de les enlever,le soulagement qu'elle va ressentir en libérant ses pieds...Personne pour me masser se dit elle a regret...

Havre Caumartin,St Lazare,Europe,la ligne 3,elle connait par coeur,elle ne ragarde même plus les stations...Non elle est perdue dans ses pensées s'imaginant dans un bon bain chaud pour se détendre...

Mais soudain elle sent un regard insistant poser sur elle,elle n'ose lever les yeux mais elle sait qu'on la fixe...Timidement elle regarde autour d'elle et là ses yeux se plantent dans celui d'un homme d'une belle carrure. Ses yeux la transperce de toute part.Elle se sent intimidé curieusement.Pourquoi cet homme la fixe comme cà ? Qu'a t'elle ? Machinalement elle se détaille pour être sûre que rien ne cloche chez elle. 

"Non j'ai rien " Pensa t'elle...

Mais alors pourquoi ne baisse t'il pas la tête ? Tout les hommes font cela il vous fixe mais lorsque vous plongez dans leurs yeux,gêner,ils baissent la tête ! Mais là non...Pas lui ! Il insiste...Le fait qu'elle se détaille doit l'amuser,car un sourire illumine ses yeux.

"Il se moque ou quoi ?" Cela l'ennerve un peu mais elle n'y prete pas attention et fais comme si elle surveillait les stations...

"Malesherbes,il vous reste deux stations mademoiselle" Elle sursauta sur ces mots..."Comment le savez vous ?" Lui dit elle entre la surprise et l'inquiétude. Il s'etait approcher et se trouvait maintenant juste dans son dos,elle pouvait sentir son souffle chaud au creux de son oreille.

"Je vous croise tous les soirs,tous les soirs je vous observe et tous les soirs vous ne me voyez pas !" Tiens je n'ai jamais prêter attention,se dit elle intérieurement,pourtant il est charmant,j'aurais dû le remarquer...

"Vous ne m'avez jamais remarquer car je vous regarde en secret parfois de la voiture voisine"

"Mais il lit dans mes pensées ou quoi ?" Elle se sent gêner et flatter à la fois...Elle lui sourit timidement ne sachant plus quoi dire...

Malesherbes ca y est elle arrive,elle s'apprêtes a descendre,il lui emboite le pas et ouvre les portes...

"Je descends aussi,je vous en prie..." Il la laisse passé et vient a sa hauteur...Il engage la conversation lui disant qu'il habitait à quelques pas de chez elle,qu'elle avait attirer son attention car tous les soirs elle semblait perdue dans ses pensées,comme si le monde n'existait pas autour d'elle..."Une petite femme au pays des rêves" cette phrase la fit sourire et eu le don de détendre l'atmosphére...

Ils se présentérent mutuellement.ll se prénommait Vincent.Son sourire etait radieux et ses yeux en disaient long...Il la raccompagna devant son immeuble,là ils discutérent un petit moment puis vinrent à se dire bonsoir.Il partit. Elle tappa le code pour entrer,mit un pied a l'intérieur de ce vieille immeuble parisien,quand soudain il la rattrapa par le bras.

"Mademoiselle,je ne peux pas repartir comme cà,ca fait si longtemps que j'attends juste un regard de vous,si vous saviez comme je vous désire" Puis tout aussi soudainement,il l'embrassa avec fougue...

Ce baiser la surprit,mais elle se laissa aller sous la caresse de cette langue douce qui cherchait la sienne...Elle etait flatté d'une telle attention pour elle,cela faisait si longtemps qu'on ne lui avait pas dit qu'on la désirait...

Ils restérent dans le hall de l'immeuble a s'embrasser comme des adolescents. Ses mains s'hasardaient le long de son corps,elle se plia sous la caresse,si tendre et si douce qu'elle en perdait la tête...

"viens " lui dit elle dans un soupir,puis elle l'attira dans l'ascenseur,là les baisers fut encore plus fougueux,impatients...Elle sentait dans ses baisers l'envie qui le submergeait...

Ils arrivérent a l'étage de son appartement,elle ouvrit la porte tout en ne cessant pas de l'embrasser...A peine la porte fut elle refermer que déjà il avait enfuis ses mains dans son chemisier et commencait a la déshabiller...Il la couvrait de mille et un baisers...Sa fougue etait incommensurable,jamais elle ne s'etait senti autant désirer...

Il l'avait coincer contre le mur,ses mains la fouillaient de part et d'autres. Tout ses sens etaient en éveil,une trés forte excitation s'emparait de leur esprit plus rien ne pouvait les freiner dans cette hardeur...

Ce n'etait même plus un simple désir c'etait plus une folie incontrolable qui les animait...Parcourant son corps de ses mains brûlantes,Vincent,lui retira son string. Elle sentait son membre durcir davantage sous le geste. Il etait au paroxisme de l'excitation. Il avait dit vrai il la désirait vraiment depuis longtemps...Ses gestes et ses soupirs le lui prouvait...

Il glissa le long de ses cuisses ne cessant pas de poser ses lévres sur chaque centimétres de peau qu'il croisait...Il etait à présent a ses genoux,délicatement il ecarta ses lévres humides et y déposa sa langue,qu'il fit jouer de haut en bas,léchant chaque recoin de son intimité.

Elle etait agiter par de legers soubressauts que lui procurait sa langue. Il resta un petit instant entre ses cuisses aspirant les sucs de son doux plaisir.Puis il se releva,lui agrippant les fesses fermement il la souleva,la plaqua au mur et vint enfoncer son sexe durcit d'excitation en elle.

La pénètration de ce sexe de bonne taille lui arracha un cris rauque. Ce qu'elle ressentis a ce moment semblait indescriptible tant elle aima le sentir en elle...Il avait enfui sa tête dans sa poitrine et entama un va et vient torride. Une énorme bouffée de chaleur s'empara d'elle,elle sentait la sueur sur son front dégoulinait sur ses yeux.

Son plaisir etait intense,elle aimait ce sexe en elle,ce sexe qui lui arrachait tant de cris...Vincent semblait en pleine frénésie,il la prit sauvagement,là contre le mur a l'abris des regards...Il la possédait totalement corps et âme...Elle partit loin si loin qu'elle eu peur de ne pas redescendre sur terre...

Il ne cessait de la pénètrer de plus en plus vite,de plus en plus fort...Il était si vigoureux...C'en etait presque incroyable...Il la poussa loin trés loin,elle ne savait plus ou elle etait ni même qui elle etait...Elle etait juste cet objet de désir que cet homme tenait entre ses mains...

Elle se laissa définitivement partir sous ces coups de butoir qu'elle recevait. Sa jouissance fut d'une intensité rarissime...Elle criait de plaisir...Elle n'en pouvait plus...Vincent le sentit et se laissa partir avec elle dans les cieux de ce plaisir infini...

Leurs deux corps retombérent en osmose...Repu par cette jouissance extréme...Ils se laissérent glisser simultanément au sol...Encore essoufler,la respiration saccadée,ils s'enlacérent avec douceur et tendresse...Vincent la couvrait de baisers...Ils se sentaient si bien serrer l'un contre l'autre...

Ils restérent un petit moment sans bouger,ni même parler,juste a apprécier ce moment de bonheur qui venait de les unir...Puis plus tard ils dinérent,histoire de se donner des forces pour la plus torride des nuits qui les attendait...Car là ils prirent le temps de se découvrir mutuellement,et ne cessérent de faire l'amour jusqu'à l'aube...

Par Isarêve - Publié dans : Rêves et désirs
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